Ludwig et Django

beethoven-ce-manoucheCe dimanche, c’est concert-spectacle à Blanzat, par la compagnie Swing’Hommes

Au paradis, Oliver, l’ange contrebassiste dont le renom dépasse les frontières célestes, est chargé par Dieu de réconcilier les hommes par la musique et de créer une harmonie universelle. Il est « aidé » dans sa mission par deux génies des notes et de la mélodie, Ludwig van Beethoven, le génie du piano et Django Reinhardt, le manouche virtuose. Mais sa tâche n’est pas facile car les deux musiciens ont des caractères bien différents et notre pauvre archange se retrouve à jongler entre la vanité de l’un et la désinvolture de l’autre. Espérons que la chorale convoquée pour l’occasion saura remettre tout le monde d’accord… Et nous serons de cette chorale, Véronique, Adèle et papa.

Même si Adèle ne nous manifeste pas l’enthousiasme que l’on souhaiterait, elle sourira, se prendra au jeu et retiendra comme nous, le jeu de Django, la guitare derrière la nuque, et le toucher de Ludwig, allongé sur le dos sous le piano, les mains sur le clavier.

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